Sur la page blanche de mes regrets passés
J’écris en rouge la douleur du temps présent
Sommes nous donc né uniquement pour trépasser
Et de son vivant connaître que le tourment.
Pourquoi en cette nuit, la douleur me hante
Le crâne fendue en deux, la tête emplis de feu
Les yeux envahis de couleurs éclatantes
Je souffre de ma vie, tout me rend malheureux
Mes yeux n’ont que trop pleuré, mon corps trop souffert
Le blanc d’innocence de rouge sang couvert
D’avoir trop voulut croire, d’avoir trop voulut vivre
Je n’ai que trop vécu et la mort m’enivre.
Tristan